«Ceci nâest quâune histoire fictive, fruit de ma libidineuse imagination. Toute ressemblance avec des personnes rĂ©elles ne peut ĂȘtre que fortuite.»
Vendredi en dĂ©but dâaprĂšs midi. Câest aprĂšs une Ă©reintante mais fructueuse semaine que je dĂ©cide de mâaccorder un peu de rĂ©pit : une pute !
Une semaine Ă arpenter certaines villes littorales mĂ©diterranĂ©ennes, une semaine Ă lorgner tant de culs caramĂ©lisĂ©s vĂȘtus de sommaires bouts de tissus mâa fortement donnĂ© envie de cartoucher bestialement et sans mĂ©nagement une beurette Les beurettes sont trĂšs PSE, et câest ce dont jâai besoin pour extĂ©rioriser ma tension accumulĂ©e âŠ
Qui plus est aprĂšs un petit peu plus dâune semaine de rĂ©tention spermique leur teint naturellement hĂąlĂ© cumulĂ© au soleil pris abondement cet Ă©tĂ© (elles ont gĂ©nĂ©ralement passĂ© lâĂ©tĂ© dehors, et non entre 4 murs Ă travailler) sont des Ă©lĂ©ments qui feront dâautant plus ressortir la couleur de ma semence sur leur doux et chaud visage
Je me stationne donc Ă lâombre, dans la SilvioMobile, moteur allumĂ© afin de profiter de la climatisation pour arpenter les annonces locales sur mon smartphone. Inutile dâaller mâĂ©tablir dans un « bar » : dans le coin tous sont de qualitĂ© mĂ©diocre, sales, et peuplĂ©s dâindividus que je ne souhaite pas spĂ©cialement frĂ©quenter
Une petite annonce attire mon attention : photos au corps caramĂ©lisĂ©, 20 ans, 50 kg. Jâappelle et pas de rĂ©ponse, sâen suit un sms de sa part me donnant le menu et les tarifs. Jâopte pour une heure, avec option CIM / COF (+50), dans un hĂŽtel de mon choix (jâai dĂ©cidĂ© de ne plus aller CHEZ les putes ou Ă leur hĂŽtel, car force est de constater que les draps ne sont jamais changĂ©s entre deux clients et ça câest dĂ©gueulasse)
Je me pointe Ă lâheure indiquĂ©e au lieu de rdv car je dois rĂ©cupĂ©rer la miss. De drĂŽles dâindividus partout
mais la ville « veut » ça ⊠Et lĂ je la vois arriver : totalement conforme aux clichĂ©s, slim, bien bronzĂ©e, un mini short en jean moulant ras les fesses, un haut blanc moulant au dessus du nombril, des lunettes de soleil rondes et perchĂ©e sur des talons. Evidemment le classique sac qui brille de mille de feux Ă bout de poignet ⊠Elle fait trĂšs trĂšs pute vulgaire : jâadore ça, câest ce que je voulais
On discute tranquillement durant le trajet, je lui file 10 balles en passant devant un Spar pour aller mâacheter une biĂšre fraĂźche car je suis assoiffĂ© et elle se prend un coca. Durant le trajet et avec nos Ă©changes je me rends compte quâelle est Ă©videmment trĂšs stupide (incapable de mâindiquer la droite et la gauche, câest pour dire) et probablement un peu mytho ⊠Mais pour ce que je lui demande câest le cadet de mes soucis
On arrive devant lâhĂŽtel, je lui demande dâattendre dehors comme un chien car je vais prendre la piaule avec la carte de la sociĂ©tĂ© et jâaurais du mal Ă expliquer pourquoi je prends des piaules pour deux Ă mon comptable. Je rĂ©serve, mâacquitte de 92 euros, prends possession des lieux et lui donne le numĂ©ro de la chambre oĂč elle me rejoint
ArrivĂ©s dans la chambre je lui donne lâargent pour une heure et les 50 euros de bonus pour le CIM/COF (important). En ouvrant son sac je remarque immĂ©diatement une forte odeur de weed, je le lui fais remarquer et elle me propose de rouler un joint avant de baiser Jâai lĂąchĂ© tout ça il y a longtemps mais de temps en temps pourquoi pas, on papote et elle sâenfonce de plus en plus dans la mythomanie mâexpliquant quâelle a Ă©tĂ© mariĂ©e 4 ans (Ă©videmment Ă un maghrĂ©bin taulard) mais quâelle a divorcĂ© il y a deux ans car il la battait (ben voyons) ⊠Je lui fais remarquer quâil est Ă©tonnant dâavoir Ă©tĂ© mariĂ©e quatre ans, divorcĂ©e lâan dernier, quand on a que 20 ans ⊠Son cerveau bugge et elle ne sait pas trop quoi rĂ©pondre hormis : « Comment tu la trouves ma weed, câest un pote Ă moi qui la fait venir de chĂ©paou, câest la meilleure du coin de la vraie bombe ! Tout le monde mâen demande, si tu veux je tâen vends ».
Silvio : « Jâai passĂ© lâĂąge de ces drogues dâados (alors que jâai dĂ©montĂ© 80% du joint tout seul), en plus je trouve quâelle a un goĂ»t de merde, genre liquide vaisselle âŠÂ »
Beurette : « Ah mais câest normal câest une variĂ©tĂ© goĂ»t citron, trop bon hein ? »
Silvio : « Non, de mon temps la weed avait goĂ»t Ă la weed, pas au Paic ⊠Vous mĂ©langez tout comme dans vos tacos de merde, mĂȘme dans vos joints, ça nâa aucun sens ! A tous les coups tâas des capotes Ă la fraise âŠÂ »
Beurette : « Hein ? »
Silvio : « Non non rien je déconne ! » (en fait non)
Beurette : « Aha trop fort lol mdr ptdr xpdr wesh wesh »
Je tĂšj le joint citronnĂ© par la fenĂȘtre (de toutes façons cette ville est dĂ©jĂ pourrie, aucune utilitĂ© dâutiliser une poubelle) et elle commence Ă se dessapper âŠ
Beurette : « Alors comment tu me trouves ? Tu ne trouves pas que jâai des trop petites fesses ? »
La beurette se penche en string, cul vers moi âŠ
Silvio palpant la marchandise « Non, elles sont trĂšs bien tes fesses (câest vrai en plus), pourquoi ? Tu voudrais avoir un gros cul ? »
Beurette : « Oui, comme dans les clips de zboubmachintruc tu vois ? »
Silvio : « Heu ⊠non  »
On commence Ă se chauffer et elle me dit :
« Bon tâes super sympa, mignon et tu sens bon ⊠je vais te sucer nature »
Silvio : « Oui, je me lave, mais surtout câĂ©tait prĂ©vu dans tes prestations et jâai payĂ© pour ».
Beurette : « Slurp slurp glop glop OK » (la bouche pleine)
Bon lĂ je dois lâadmettre les amis : une des meilleures pipes de ma vie. Elle a de la technique, bien baveuse, une langue trĂšs agile dont elle sait jouer. Bordel elle a du en sucer des bites, pense Ă pisser juste aprĂšs la baise et Ă bien savonner tout ça Silvio âŠ
Ensuite une baise assez classique mais bien exĂ©cutĂ©e oĂč jâai pu la cartoucher dans tous les sens sans la moindre protestation de sa part, un joli corps mate teenesque, petits problĂšmes cependant dans les changements de positions oĂč elle nâa aucune intelligence dans lâespace et malgrĂ© mes instructions corporelles pourtant claires elle se sent obligĂ©e de dire Ă chaque fois :
« Comme ça ? »
« Tu veux que je me mettre dans ce sens ? »
« Ăa te va bien comme ça ? »
Silvio : « Dis moi, câest moi oĂč tu ne te tais jamais ? »
Beurette : bug
En bref câĂ©tait quand mĂȘme une bonne baise, les beurettes sont relativement cochonnes et se lĂąchent facilement en mettant du coeur Ă lâouvrage. Je lâai mĂȘme faite jouir Ă deux reprises (clitoridien + vaginal).
Le moment fatidique arrive : le CIM / COF
Je la mets Ă genoux devant moi, le miroir derriĂšre elle pour visualiser son cul et lĂ quand je retire la capote elle me sort :
« Heu non en fait câest pas possible lâĂ©jac Ă cause de mon maquillage parce blopblopglurpblop âŠÂ » obligĂ© de saisir cette mythomane par les cheveux pour remettre ma bite dans sa bouche afin de la faire taire âŠ
Bon, comprenant que ce type dâĂ©jaculation est compromis malgrĂ© le supplĂ©ment payĂ©, lâĂ©nergie Ă©tant qui plus est cassĂ©e par cette rĂ©ponse inattendue je la relĂšve et Ă©jacule misĂ©rablement sur son petit cul caramel ⊠Un peu déçu, je nâaime pas me branler pour Ă©jaculer âŠĂa aurait Ă©tĂ© une Ă©jaculation intĂ©ressante si une seconde nana mâavait branlĂ© pour Ă©jaculer sur le cul de la premiĂšre mais nous nâĂ©tions que deux
Elle file Ă la douche, continue de parler. Jâattends devant la douche Ă poil, le sexe dĂ©goulinant ⊠Je me douche Ă mon tour et lui demande de me restituer les 50 euros de bonus du CIM / COF. Elle Ă©vite le sujet en parlant dâautre chose âŠ
A la seconde demande et Ă son second dĂ©filement jâouvre son sac et rĂ©cupĂšre moi-mĂȘme les 50 euros, et lĂ putain la voilĂ qui bondit par dessus le lit tel un ninja du dĂ©sert , elle me saisit par derriĂšre et tente de mâĂ©trangler
Je me retourne, la saisis par le cou, la plaque contre le mur et lui dit de se calmer immĂ©diatement, que je vais simplement rĂ©cupĂ©rer le surplus de la prestation payĂ©e non rĂ©alisĂ©e comme nous lâavions prĂ©vus ⊠Elle sâagite comme une dingue en vocifĂ©rant, je reste calme, dĂ©tendu mais ferme ⊠Elle finit par me dire « ok ok lĂąche moi stp »
Je récupÚre donc les 50 balles, lui laissant évidemment le reste
Et lĂ mes amis, dans le petit couloir menant Ă la porte pour sortir de la chambre jâentends un « clac clac clac » hyper rapide (bruits de talons), Ă peine le temps de retourner ma tĂȘte dâun quart de tour que je vois cette pute totalement hystĂ©rique sauter dans les airs aprĂšs avoir pris de lâĂ©lan, pied en avant et me foutant un coup de talon au bas du dos (et ça fait mal)
Je manque de me viander, me retourne lui fais une clé de bras puis la plaque au sol
Elle est en pleine crise de dĂ©mence, gesticule au sol comme une Ă©pileptique en mettant des coups de pied partout faisant valdinguer le mobilier, hurlant Ă la mort et me crachant mĂȘme Ă la gueule comme un lama endiablĂ©
Je sais quâil faut rester calme car je sais ce quâelle essaie de faire : foutre le bordel pour que je lĂąche lâaffaire et lui rende les 50 balles pour ne pas avoir dâemmerdes. Alors autant ça aurait pu marcher dans ma jeunesse , et ça doit mĂȘme marcher avec les autres clients, mais lĂ tu es tombĂ© sur Silvio ma petite : plus de 10 ans de putes Ă son actif et dans plusieurs pays
, des endroits les plus dangereux aux endroits les plus luxueux et des embrouilles jâai ai eu en masse ⊠Câest pas une mini beurette le cul encore collant de mon sperme qui va me manipuler et me baiser avec son petit jeu habituel de lâesclandre publique dont les racailles ont le secret
Je lui signifie que lĂ elle a Ă©tĂ© beaucoup trop loin, la tiens fortement en la fixant dans les yeux et exige des excuses. Je lui explique avec calme que si elle ne veut pas mourir dans une chambre dâhĂŽtel avec le tuyau de la douche autour du cou en guise de collier mortuaire elle ferait mieux dâapprendre la politesse dans la minute qui va suivre car je suis pressĂ©
Elle pleure et sâexcuse. Je relĂąche lâanimal mais reste sur mes gardes ⊠Ne pas lui tourner le dos et faire attention Ă ce quâelle pourrait sortir de son sac (Ă ce niveau lĂ de dĂ©bilitĂ© je sais quâĂ peu prĂšs tout est possible de sa part).
Elle passe sur un autre registre, la pitié :
« Wesh mais mon mac va me dĂ©foncer tu vois (alors quâelle mâavait dit ne pas en avoir ⊠je ne relĂšve pas), on est restĂ© longtemps ensemble tu dures longtemps et on a fumĂ© un joint, il va vouloir plus dâargent sinon je vais me faire Ă©clater snif snif snif » âŠ
Silvio : « Ecoute jâai payĂ© une heure et on a baisĂ© une heure, et le joint câest toi qui a proposĂ©, câest pas mon problĂšme âŠÂ »
Beurette : « Putain mec tu vas voir je vais appeler mon mac ! »
Silvio, blasĂ© : « Ecoute ok, on sort et appelle le je vais mâexpliquer dehors avec lui ».
Je la fais passer devant et on sort sans scandale de lâĂ©tablissement ⊠Bon, premiĂšre Ă©tape pour me dĂ©barrasser de cette pute sans rameuter tout le monde rĂ©ussie ⊠Vue la tournure des Ă©vĂ©nements câest dĂ©jĂ une performance.
Sur le trottoir :
Silvio : « Bon, tu lâappelles ton mac ? »
Je me disais autant régler cette histoire entre hommes, elle étant totalement cinglée et teubée.
Beurette : « Hein, quoi ? Heu aller câest bon va ramĂšne moi stp »
Gentleman (imbĂ©cile ?), je prends la route pour la ramener ⊠Ce nâest pas loin et en fait je crains quâelle me pĂšte un rĂ©tro ou vitre si je la laisse lĂ comme une merde âŠ
Mi trajet elle commence Ă faire de petits cris (???), taper des pieds sur le sol de la voiture, met un coup de poing (heureusement sans dĂ©gĂąt) dans la planche de bord (putain que jâaurais aimĂ© quâelle se dĂ©clenche lâairbag dans la face), et hurle quâelle va appeler son mac, que câest un arabe super connu, quâil sort de prison et quâil va me planter âŠ
LĂ je perds patience, ça en est trop cette fois et il est temps dâen finir pour passer Ă la derniĂšre Ă©tape : je pile en plein centre ville avec la fumĂ©e et tout, fait un crĂ©neau nickel Ă toute allure, coupe le contact de la SilvioMobile, me tourne vers elle en prenant mon couteau qui est dans lâaccoudoir et lui dis « Vas y, appelle le ton putain dâarabe au RSA, je vais le saigner comme un porc et toi avec, je ne bouge plus dâici tant quâil nâarrive pas et toi non plus tâas pas intĂ©rĂȘt Ă bouger ! Tu as voulu mâentuber mais ça prend pas avec moi »
Beurette : « Snif snif je vais appeler les flics ! »
Silvio : « Les flics ? ahahaha ! Vas y appelle les on reste là tous les deux de toutes façons »
Gros éclat de rire devant son air médusé
Beurette : "Sur le coran de la mecque tes morts tu es fou on va te saigner, de toutes façons jâai ton numĂ©ro sur mon tĂ©lĂ©phone on va te retrouver jte dis fils de pute " !
Silvio : "Mais je ne suis pas ton fils !»
La beurette mâa regardĂ©, pantoise, je sĂ©chais mes larmes du fou rire prĂ©cĂ©dent âŠ
Silvio : «Barre toi maintenant, ça suffit ton cinĂ©ma de merde jâen ai ma claque et je ne veux plus voir ta face dâescroc âŠÂ»
StupĂ©faite et Ă bout de tentatives elle a claquĂ© la porte et sâest barrĂ©e
Plus tard sur le retour je me suis arrĂȘtĂ© chez mon boucher acheter 3 entrecĂŽtes avec ce billet de CIM malheureusement non dĂ©pensĂ©, et on sâest finalement bien rĂ©galĂ©s chez les Silvio
Soyez prĂȘts Ă tout les amis lorsque vous allez aux putes, lâaventure est au bout du tapin