If the leader is filled with high ambition and if he pursues his aims with audacity and strength of will, he will reach them in spite of all obstacles*.* Carl Von Clausewitz, Vom Kiege
Première aventure Moscovite - une fiction a la mode vaudevillienne servie avec panache
Comme le mentionne ma présentation je vis à Moscou depuis un peu plus de deux ans ou j’exerce la fonction de gestionnaire de fortune.
Etant jeune, français et gagnant un salaire conséquent je n’ais eux jusqu’ici aucun mal à assouvir toute pulsion sexuelle via différents stratagèmes.
Un temps je me suis laissé aborder au comptoir de certain bar huppés, un temps j’ai fréquenté certaines soirées « closed door » et un temps j’ai eu recours aux numéros de moult jeunes filles glanés sur certains chat telegram regroupant des hommes aux mêmes ratios temps libre/pouvoir d’achat que moi. Toutes ces méthodes ne m’ont orienté que vers un seul type de femme, des jeunes russes absolument magnifique (à mon arrivée mes yeux de petit français ayant longtemps vécu en Angleterre voyaient des 15/10 partout) souvent étudiantes en recherche d’arrangements confidentiels de très courte durée. Le plus souvent la mascarade ressemblait à
1* diner 15,000RUB 2h
2*promenade / moment pseudo romantique
3* ébats
4* pillage par la demoiselle de la pile de cash que tout homme aisé en Russie possède dans son salon le plus souvent dans un vide poche sur la table basse.
Certains arrangements me coutaient parfois un sac a main parfois un soutien financier demandé à demi-mot. Toujours est-il qu’après calcul je me rendis compte du drame suivant…. 1 ébat me coutait en général 35.000RUB et 4 à 6 h de mon temps.
Une période d’introspection personnel accompagnée de la lecture des aventures des bon Silvio et Duracel cumulée avec la réalisation que mes 7h de temps personnel hebdomadaire étaient trop souvent sacrifiées sur l’autel de ma libido.Je me mis en quête d’une fille de joie.
Tout y passât, sites, demande de recommandation, cartographie des salon… Comprenez-moi à Moscou les filles sont légions et je ne manque pas de moyens simplement de temps. Quelques jour plus tard après un dernier conseil demandé à note cher Jean-Marie je héla mon chauffeur et me rendis au rendez vous pris avec la belle Alexandra.
Messieurs laisser-moi vous dire que la beauté de la belle était aussi réelle que le stress qui m’habitais durant les interminables 20 mn que pris le trajet.
J’arrivais dans une petite rue du quartier Tverskaya. La monumentale porte métallique incorporée dans une grande façade couleur pistache, classique de ce quartier, s’ouvrit à la simple approche de mon véhicule (bénis soit les statuts sociaux russes qui ouvre bien des portes me dis-je, j’aurais au moins la discrétion).
Tout s’enchaine très vite, a peine le pied hors de la voiture elle apparait devant moi et je manque de m’évanouir. C’est la plus belle femme sur lequel mon regard pu avoir l’honneur de se poser.
1m65 fine, une forte poitrine refaite à l’illusion parfaite, un joli minois, une bouche pulpeuse, des yeux d’un bleu cristallin, elle porte une simple robe noire et pourtant.
Nous montons à l’étage l’appartement est spacieux, lumineux et en son centre en lieux et place du salon, trône un énorme lit que je perçois déjà comme le champs de bataille sur lequel les prochaines 60 mn vont se jouer.
Peut loquasse, je dépose les 17.000RUB requis sur une commande voisine, je la déshabille et m’empresse de profiter du package GFE avec anal et CIM convenu.
Cette déesse est une véritable œuvre d’art (probablement danseuse ou gymnaste), son corps nu ondule contre le mien au son de la douce musique classique qui retenti faiblement dans la chambre. Après que la sensation de ses fesses contre mon bassin m’aient remplie d’une attention toute particulière pour sa personne, la voilà qui s’agenouille, me prend en bouche et entreprend ce qui est à ce jour la plus belle fellation qu’il m’eut été donné de recevoir.
N’en pouvant plus je l’entraine sur le lit, s’ensuit une dance endiablée aux multiples positions me laissant pantelant au bout de seulement 30 mn alors que je me targue normalement d’une longévité sexuelle proche de l’heure d’ébats intensifs.
Cette fille, que dis-je cette DAME, non contente d’être une véritable acrobate se montre impliquée, insatiable le tout avec le sourire et un language corporel des plus câlins.
Avant de m’avouer vaincus je décide de m’employer à faire de ce champs de bataille ma conquête et entreprend de lui délivrer une cartouche digne du rugbyman que je fus par le passer. Quelle ne fut pas ma surprise quand elle se révéla encore plus diablesse alors que légèrement dominée.
Les minutes passent, je faiblis cette éclaire de féminité se met soudainement à se contorsionner afin de finir la tête entre mes jambes, sa bouche s’active, je la lui remplis, dans ma fébrilité une bonne partie finie sur son visage, elle s’essuie du bout des doigt et les lèches avec un grand sourire avant de sauter d’un enjamber élégant vers la salle de bain attenante.
L’esprit apaisé pour la première fois depuis plusieurs jours je songe, alors qu’elle me raccompagne en me souhaitant de revenir lui tenir compagnie au plus vite.
Les minutes passent, mon chauffeur me dépose, retour chez moi et toujours je songe.
A vous messieurs maintenant une question…
Que m’est-il arrivé ? serais-je à nouveaux capable d’apprécier la saveur d’une femme banal ? Dois-je revoir Alexandra ou laisse le souvenir de ses lèvres me hanter ?
Bien à vous.
C.