Messieurs dames bonjour,
Après ma brève introduction dans la section de présentation et en attendant d’avoir l’argent pour m’offrir une baise de masseuse Thaïlandaise de qualité, je vais promptement vous compter l’histoire de ma relation la plus longue.
Tout commence en 2014 ; A cette époque, le jeune Lazyfucktard de 18 ans est ambitieux mais aussi certainement trop présomptueux. C’est pourquoi son professeur de philosophie ne l’apprécie pas et ne s’en cache absolument pas (la dynamique prof/élève de classe préparatoire étant généralement de type dominant/dominé d’un point de vu connaissance, rien d’anormal me direz-vous !). En même temps, pour sa défense, lorsque l’on a en face de soi un jeune con blindé de testostérone, nous répétant ça et là qu’il gagnera bien plus que nous en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il y a de quoi l’humilier quant à son manque de connaissance sur les oeuvres de Nietzsche. Fair enough !
Puis, vint la seconde année, avec son lot de nouvelles arrivantes. C’est Noël avant l’heure me dis-je ! M’armant de mes réflexes les plus aiguisés, je repère au fond de la salle une jeune, pulpeuse, avec ce regard innocent, que nous connaissons et chérissons tous. Cible trouvée ! D’autant qu’elle était blanche et que je m’étais jusque là, toujours contenté de métisses, polynésiennes, asiatiques (Oui la diversité en Nouvelle-Calédonie, c’est beau). Je met donc en place un stratagème de drague que tout bon étudiant qui se respecte connait : Petits regards furtifs, sourires charmeurs (enfin je l’espère), discussion avec ses copines pour savoir si elle est bien disponible. Et c’est donc là que tout bascule.
L’une de ses amies me dit « Mais t’es fou, c’est la fille du professeur de philo, c’est mort, laisse tomber ». Il n’en fallait pas plus… Je savais à présent qu’il était de mon devoir d’entrer en elle et surtout, de ne pas m’en cacher afin de pouvoir un jour regarder se type droit dans les yeux et de penser tout fort … « Oui, je baise ta fille ».
Je vous passe à présent les détails niés d’une drague de jeune, rien d’intéressant à ce sujet. Toujours est-il que je finis par l’embrasser un soir en boîte de nuit (cliché, oui) et que l’on finit par sortir ensemble. J’étais plutôt content, une jolie filles, sympa, avec de la conversation et un cerveau, ça fait toujours plaisir.
Après deux jours à discuter par texto, se palucher et se tenir la mains (comme c’est mignon), je l’amène un soir dans un parc bien connu de la ville sur des hauteur pour admirer le coucher du soleil sur le lagon. Je me disais « après ça, je vais la ramener à la maison et négocier pour qu’elle reste la nuit afin de partir sur une nuit de jambe en l’air ». Que nenni ! Elle me dit que son père est stricte là dessus et qu’elle doit absolument dormir chez elle (Il me fera chier jusqu’au bout celui-là).
Mais à ma grande surprise, nous restions sur un bancs en retrait du chemin principale pour nous galocher langoureusement en privé, quand soudain ! Elle me chope le zguègue avec un panache et une assurance me laissant sans voix. Et dans la foulée, après m’avoir arracher la braguette, elle se mit à me sucer (avec les dents, chose qui sera rapidement corrigée dans les jours à venir, je vous rassure) jusqu’aux couilles. Vous pouvez donc imaginer le festival d’émotions qui me traversaient alors l’esprit, jeune étalon moyennement expérimenté que j’étais. Je regardais frénétiquement de droite à gauche pour vérifier que personne n’était dans les parages, le crépuscule permettant encore d’y voir clair. Elle finit par me grimper dessus rentra ma bite entière en elle avec une aisance incroyable grâce à de la mouille présente en abondance et agita ses anches d’une façon si bonne que je ne tins pas plus de 5 minutes. Elle me regarda, souriante, m’embrassa et me proposa d’aller manger une glace, comme si de rien n’était.
Et ceci mes chers gentlewomen et gentlemen, ouvre donc le chapitre de ma vie s’intitulant « Relation de deux ans avec une nymphomane (qui se contrôle mais pas trop), fille de mon professeur de philosophie ».
Et laissez-moi vous dire, qu’une telle relation regorge d’histoires tordantes.